
Le projet TOMO démarre par la rencontre entre Romain Gaia et Takanori MURATA, fabricant de wagashi de père en fils, qui l’accepte comme disciple dans le salon de thé du chef étoilé Aïda, avec qui il travaille toujours.
Romain Gaia est alors pâtissier depuis l'âge de 22 ans et parle déjà japonais, ce qui lui permet d'être accepté dans ce milieu très fermé de la gastronomie japonaise.
En vente sur le Club MoiChef :
Présentation du producteur :
S'en suivent 3 ans de travail, chez Aïda et au Japon pour construire son projet.
Puis vient l'ouverture de la pâtisserie franco-japonaise TOMO en 2016 avec pour objectif de faire découvrir le monde encore méconnu des wagashi au grand public.
Le Dorayaki est choisi comme ambassadeur des wagashi pour faire un pont entre la France et le Japon, mais surtout pour être la porte d’entrée vers des douceurs plus inhabituelles.

Puis vient l'ouverture de TOMO à Odéon avec pour objectif de faire découvrir d’autres horizons :
- Les Taiyaki (gaufres garnis de haricot rouge confit) et les dango (riz moelleux et grillé en sauce sucrée-salée), que l’on trouve souvent dans les festivals de rue au Japon.
- Les parfaits glacés ou les kakigori (glace rasée et parfumée)
- Le saké de qualité autour d’accords avec la pâtisserie
S'en suit la publication du livre « Paris-Kyoto » avec l’idée de présenter les vraies recettes des artisans japonais ; pour offrir aux français un guide sérieux de cet artisanat inaccessible au
non japonophones.
C'est le premier ouvrage édité en Europe ayant cette portée culturelle et artisanale à propos de la pâtisserie japonaise.
Télérama en parle : "Cet ouvrage est le plus complet jamais consacré jusqu'ici en France aux pâtisseries nippones."
Romain Gaia, qui ne s'arrête jamais, a maintenant pour projet de se développer au Japon pour présenter la partie française de Tomo.