top of page

Les Noix de Cajou de Madagascar

d'Unima, adorées par Pascal Barbot

Les noix de cajou, c’est un peu comme les avocats. On adore ça, mais si on traine un peu trop sur Arte on se sent vite coupable quand on en mange.


En résumé, la majeure partie de vos noix de cajou proviennent d’Inde. Là-bas, être freelance c’est moins drôle qu’en France. La plupart des personnes qui travaillent les noix de cajou sont des femmes (sous) payées à la performance. En retirant la noix de cajou, pour ne récupérer que l’amande, leur doigts entrent au contact d’un acide très agressif pour la peau.


Une solution simple consisterait à mettre des gants, mais « simple » ici ne l’est pas forcément là-bas. En effet, les gants coûtent cher, et avec leur salaire de 2 à 3€ par jour, ce n’est pas envisageable. Qui plus est, vu qu’elles sont payées à la performance (le nombre d’amandes décortiquées par jour), les gants ralentiraient leur cadence, donc leurs revenus.


Mieux à Madagascar ? 


Madagascar est le 5ème pays le plus pauvre du monde… Pas super inspirant d’acheter des noix de cajou là-bas.


C’est pour ça que pour chaque producteur ou artisan mis en avant dans le Club MoiChef, Tristan fait le choix de se rendre sur place, souvent plusieurs heures, mais dans la plupart des cas plusieurs jours, le temps de tout comprendre, observer, questionner.


Dans ce cas, c’est presque un hasard qui l’a amené sur la production de noix de cajou de Verama puisqu'il était à Madagascar pour rencontrer les producteurs du caviar Rova.


Si on vous en parle aujourd’hui, vous l’aurez deviné, c’est qu’en plus d’être absolument exceptionnelles, ces noix de cajou ont un impact positif sur les populations locales, en créant de l’emploi bien sûr, mais également au travers de toutes les actions menées par Amyne, fondateur de Verama. Ici, tout le monde porte des gants, changés régulièrement. Mieux : les salariés (payés à l’heure, pas à la performance) sont aidés par ces machines qui limitent le risque de perforation du gant.

En vente sur le Club MoiChef :

Noix de Cajou de Madagascar 500g - Unima

Noix de Cajou de Madagascar 500g - Unima

Prix Club :

13,05€

Vente terminée

Présentation du producteur :

Amandes ou noix de cajou ?


Bon, qu’on se le dise tout de suite : c’est le bordel cette histoire de cajou. Ça démarre avec un arbre : l’anacardier, de la famille des manguiers . Son fruit est un anacarde, qui contient une pomme de cajou et une noix de cajou.

Au Brésil, c’est la pomme qu’on cherche, pour en faire des jus, beaucoup de jus. 


Ensuite, ça se complique un peu. Le petit truc sous la pomme, c’est donc la noix de cajou. Mais nous, ce qu’on veut c’est l’amande en fait. Il faut donc sortir l’amande de la noix.

Bref, on dit « noix de cajou » mais en vrai, ce qu’on mange, c’est l’amande. Voilà, grâce à nous vous pourrez être insupportable à votre prochain apéro, c’est cadeau 🤓

Unima

Mais vous aurez le droit d’être insupportables, car c’est vous qui apporterez les meilleures noix de cajou EVER

Les « meilleures », c’est très subjectif bien sûr, mais nous concernant c’est une évidence. En plus d’être quasiment 2 fois plus grosses que celles que l'on a l’habitude de manger, elles ont une palette aromatique bien plus riche. 


D’ailleurs, Amyne, fondateur d’Unima est aussi membre du Club MoiChef. Il a eu la chance de participer à la Pré-ouverture de l’Astrance de Pascal Barbot et avait (à notre demande) apporté un petit sachet de noix de cajou pour toutes les personnes présentes.


Verdict unanime : dingue. Et si l’avis des membres du Club MoiChef ne vous suffisait pas, sachez que Pascal Barbot également en est complètement fan.